• Photographe nancéien né en 1960, William Ropp parcourt le monde pour présenter un travail continu sur le corps, dans tous ses états. Ses clichés peuvent déranger ou séduire, il avoue ne pas chercher à provoquer quelque sentiment : la photographie se ressent, elle ne s'explique pas.

    William Ropp, c'est un travail de finesse, jouant en permanence entre la sérénité des lieux et des postures, et un jeu de lumières et de décalages qui rend le cliché difficile à interpréter. Chaque image a son histoire certes, mais surtout, chaque image de William Ropp parle à sa manière au spectateur de son travail, en le mettant face à sa propre réalité.

    Interview de Jean-Paul Germonville

     

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    ropp.free.fr

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    exporevue.org

     


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  • Le prix Pulitzer, créé en 1904, est un prix américain remis dans différents domaines, allant du journalisme à la musique. En journalisme, il est considéré parmi les plus prestigieux.

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    Joseph Pulitzer, éditeur du journal World, crée ce prix en 1904, mais il n'est vraiment mis en place qu'en 1917. Au début, il était attribué à une douzaine de catégories du journalisme et des arts. Aujourd'hui, il est décerné pour 21 rubriques, dont : plusieurs types de reportages, l'éditorial, la caricature, la photographie, le roman, la biographie, le théâtre, la poésie, l'Histoire et la musique. Une enveloppe de 5 000 dollars accompagne le prix, remis au mois d'avril à des personnalités américaines.

    wikipedia.org

     

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    "FEATURE PHOTOGRAPHY" Awarded to Renée C. Byer of The Sacramento Bee for her intimate portrayal of a single mother and her young son as he loses his battle with cancer.

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    www.pulitzer.org

     


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  • "Il se peut que ces images soient le reflet d'un état qui n'est pas le mien,mais celui d'un déprimé chronique auquel on aurait confié un appareil photo.
    Depuis plus de dix ans,je suis ce personnage keatonien qui me rappelle sans relâche que le temps passe et que je demeure, du moins sur le papier"

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    Jean-Claude Delalande est un étrange bonhomme,  la référence à Buster  Keaton (qu'il évoque ci-dessus)  est  une évidence: il posséde ce même humour qui s'affiche sans sourire.D'autre références,photographiques,peuvent être trouvées: Duane Michals pour ce sens de l'autoportrait mis en scène de manière savante ou encore Martin Parr dont on retrouve, transposé en noir et blanc, l'ambiance de vacances  un peu morne.

    Les influences, même prestigieuse, sont d'habitude trop envahissantes et "mangent"  la personnalité de l'auteur, rien de cela ici, Jean-Claude  Delalande n'est pas encore une célébrité, son nom n'est pas connu et  pourtant ses  images sont déjà des  Delalande!

    Deux  personnages principaux figurent sur ces  images,  Jean-Claude  et  sa compagne, mais un trosième protagoniste à peine moins apparent hante la série: le temps, les photos, réalisées durant une dizaine d'années, retrouvent le charme des albums familiaux où les adultes vieillissent tandis tandis que les enfants grandissent.

    Ce temps qui prend un malin plaisir à montrer son passage confère à la série une densité forte.Certaines photos, qu'au premier regard pourraint relever de l'anecdote ou de l'humour un peu trop décalé (avec parfois même une pointe de cynisme), trouvent, grâce à l'écoulement du temps d'image en image, leur véritable humanité.

     

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    Le piqué et la qualité du noir et blanc (des prises de vues faites à la chambre ou au moyen format) ne sont pas sans effet, ils évoquent l'ambiance des photos des années soixante, mais des années soixante à la saveur intemporelle...décidément, le temps tient ici un rôle bien compliqué.

    Il y aurait encore beaucoup à dire sur ces photos, lmes regards qui jamais ne se croisent mais qui souvent s'adresse au spectateur, la neutralité des visages, les mouvements qui hésitent entre le flou et la théâtralisation, la présence invisible de l'éclairage, la mise en scène très travaillée, les décors et les accessoires soigneusement choisis...

    Ce perfectionnisme tellement poussé qu'il sait se faire oublier rappelle Tintin, un Tintin qui aurait lu Kafka.

    Pascal Miele MAGAZINE PHOTOFAN N°15 # mai-juin 2007

     

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    jcdelalande.com

     


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     Née en 1973. Diplômée de l'Ecole des Beaux-arts du Mans et de l'Ecole Nationale Supérieure de la Photographie d'Arles. Les oeuvres de Diane Ducruet, artiste multimédias travaillant essentiellement avec la photographie, ont été présentées dans de nombreux festivals et galeries européens : Voies Off à Arles, Centre Beaubourg à Paris, Festival de Skopelos en Grèce, galerie Lagalerie.com à Bruxelles, galerie le Moulin du roc à Niort, Festival de l'image du Mans, Ho!Art Center à Londres, SPHN Galerie à Berlin, Rialto sant'Ambrogio à Rome, Festival d'Athènes, Biennale d'Art contemporain de Nîmes...

     

     

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    Les objets n'ont ni coeur ni âme, c'est ce qu'on raconte. Pourtant dès qu'on les touche ils se transforment et racontent des histoires comme s'ils étaient chargés d'une mission spéciale. Ils fixent notre regard, se couvrent de nos bonnes intentions, deviennent des marchandises. On les voit prendre ou perdre de la valeur, allumer ou éteindre les convoitises? Un artiste de génie serait peut-être un Pygmalion à l'envers : il transformerait une personne ou une bête en objets si parfaits qu'on ne saurait plus jamais s'ils sont des êtres ou des choses?

     

     

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    www.dididuc.com

     


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     La provocation, c'est une seconde nature pour de nombreux artistes hollandais. Erwin Olaf né au nord des Pays-Bas n'a pas eu à se forcer pour créer ces images mutantes et dérangeantes. Que ce soit dans son court-métrage "Le Dernier Cri" ou dans ses installations, cette star de la photographie prend son pied depuis plus de 20 ans en souillant les clichés de papier glacé. Erwin Olaf fait tâche. En l'an 2000, dans sa série “Royal Blood”, Sang Royal, Lady Di, Jackie Onassis ou encore Marie Antoinette posent en icônes ensanglantées.

    www.arte.tv


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    La vision et l'esprit incisifs d'Erwin Olaf donnent à voir des portraits toujours très satiriques de notre société contemporaine. Visuellement sophistiquées et conceptuellement provocatrices, ses images abordent les sujets si souvent éludés d'une jeunesse hantée par la sexualité; l'hypocrisie ; la violence ; la sur-consommation ou encore le contrôle social.
    Erwin Olaf a exposé à travers le monde et travaillé sur de nombreuses commandes prestigieuses.

    www.magda-gallery.com

     

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    www.erwinolaf.com

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    www.rabouan-moussion.com

     


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