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Andy Julia commence très tôt à photographier, au sein de l'école des Beaux-Arts où il découvre la "magie" photographique. Ses débuts sont marqués par une approche toute particulière et intimiste du corps et de l'entité féminine.
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On pourrait parler de fétichisme light en ce qui concerne les photographies d'Andy Julia, avec leur mises en scène éthérées de jeunes modèles féminins vêtues à la façon des aristocrates du XVIIIème siècle. Andy Julia incarne une mouvance rétro hyper-esthétisée en quête d'émotion bien plus que de provocation.
www.andy-julia-photography.com
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La chambre noire se veut un lieu d'échanges, de rencontres et de conservation de la mémoire d'un des arrondissements les plus riches de Paris, le 18éme.
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Après un passage au Collège de Wellington en 1964, il étudia les arts graphiques au West Sussex College of Art. C'est là qu'il débuta en photographie, en faisant poser pour lui sa fiancée qu'il épousa peu après. Ce premier mariage fut éphémère. Il fit ensuite d'autres études de photographie au London College of Printing et au London's Royal College of Art, jusqu'en 1975. Alors qu'il était encore étudiant, il commença les prises de vue à tendance fétichiste qui furent par la suite un aspect important de son travail. Bob Carlos Clarke disait que la photographie n'était pas un travail pour lui, mais plutôt une addiction, tournée en priorité vers la femme et les fantaisies sexuelles. Il faisait même une analogie entre l'activité sexuelle et la photographie, affirmant qu'une bonne séance de portait était une activité similaire à celle de faire l'amour au modèle. Soyez décontracté, mais faites un vrai travail, était le conseil qu'il donnait aux débutants dans le domaine de la photographie de nu .
La charge sexuelle des photographies de Bob Carlos Clarke oscillait souvent entre l'érotisme et la pornographie, suivant sa fascination pour les jeunes femmes vêtues de latex, portant des talons d'une hauteur démesurée ou des bottes, et autres bizarreries. Il fit poser pour lui beaucoup de célébrités comme Liz Hurley, Jerry Hall, Rachel Weisz, Keith Richards, Marco Pierre White ou Vinnie Jones et réalisa les campagnes publicitaires de marques connues comme Levi's, Smirnoff, Volkswagen, Pirelli ou Wallis, ainsi que de nombreuses photos de mode. La recherche d'une netteté extrême est une des constantes de son travail, particulièrement dans les premiers ouvrages.
Wiki.
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Entre 1915 et 1956, le peintre, sculpteur, photographe et designer russe, Alexander Mikhaïlovitch Rodtchenko éveille et nourrit un courant artistique avant-gardiste et avec lui l'une des plus marquantes révolutions structurelles de l'histoire de la photographie.
Influencé tant par le Futurisme italien que par le Cubisme français, Rodtchenko impulse, aux côtés d'autres artistes tels que Vladimir Tatline ou Kasimir Malevitch, un Constructivisme radical appelé «productivisme». Adapté des méthodes de reproduction industrielle, ce nouveau courant tend à
supprimer l'élitisme de l'art pour une diffusion populaire la plus large possible. En 1921, Rodtchenko et sa femme Varvara Stepanovna iront jusqu'à signer le Manifeste du productivisme, y annotant : «A bas l'art, vive la technique!».
Bien que maîtrisant, depuis sa sortie de l'Ecole des Beaux Arts en 1914, une peinture abstraite des plus novatrices, il découvre à partir de 1922 l'impact du photomontage et réalise des affiches politiques (dont les angles de prises de vue trop inhabituels dérangeront les staliniens), des affiches de films et des objets publicitaires. Peu après en 1924, il expérimente la photographie picturale et découvre «de nouveaux points de vue et de nouveaux angles de cadrage».
www.paris-art.com
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Rodtchenko. La Révolution dans l'œil
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Alexandre Rodtchenko, photographe révolutionnaire
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