• Photo © Rik Scott

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    www.rikscott.be

     


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  • Pour quelqu'un que la photographie concerne mais qui en connaît mal l'histoire, l'œuvre de Les Krims peut paraître d'une étrange confusion. Les images de ses débuts aux cadres et à la lumière subtils semblent n'avoir aucun rapport avec les accumulations de sa maturité. La filiation est pourtant évidente, comme est flagrant le lien qui unit tous les sujets qu'il traite. Car Les Krims ne se départ jamais de ce regard narquoisement destructeur qu'il pose sur la danseuse à tête de Mickey comme sur ses intérieurs surchargés jusqu'à la nausée. Si ce n'est que l'œil devient, avec le temps, de plus en plus corrosif et iconoclaste. Et Les Krims frappe d'autant plus juste et fort qu'il semble seulement ironiser alors qu'il s'attaque aux mythes américains, au plus profond, et jusque dans leurs symboles. L'œuvre de Les Krims, toute de liberté, d'humour et d'une originalité sans égale, est celle de l'un des grands photographes contemporains. Editeur : Actes Sud

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    Photo © Leslie Krims

     

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    Photo © Leslie Krims

     

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    Photo © Leslie Krims

     

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    Photo © Leslie Krims

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    leskrims.com

     


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  • Photo © Chris Blaszczyk

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    www.toja.com

     


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  • André Kertész (né Andor Kertész, 2 juillet 1894, Budapest, Hongrie - 28 septembre 1985, New York) était un photographe de nationalité américaine et d'origine hongroise.

    Il grandit dans un environnement tzigane. Il rêve très tôt de devenir photographe. En 1905, son père meurt et il est confié à un tuteur qui travaille à la Bourse de Budapest, où il sera lui-même employé de 1912 à 1914, après avoir suivi des études à l'Académie de commerce de la ville.

    En 1913, il achète son premier appareil photo : un ICA.

    En 1914, il sert dans l'armée austro-hongroise. Il réalise alors beaucoup de photographies, témoignant de ses expériences de guerre. Il publie ses premières photos dans un journal et gagne un concours de magazine, mais la plupart de ses négatifs et de ses plaques sont détruits pendant la révolution hongroise de 1918.

    Après la guerre il décide de devenir photographe et arrive à Paris en 1923, après avoir reçu le diplôme d'honneur de la Société hongroise de photographie. C'est là qu'il change son prénom pour André, équivalent français de Andor.

    De 1925 à 1935, il vend des tirages pour vivre et travaille avec divers magazines. Dès 1927, il réalise ses premières expositions et collabore à la revue Bifur en 1928. Il aide Brassaï dans ses débuts dans la photographie. Bien qu'il soit proche des surréalistes et des Dada, il n'appartient à aucun mouvement.

    Cette année, il achète un Leica ; il sera le premier à en utiliser un professionnellement. Il réalise un reportage pour Vu.

    En 1933, il rencontre sa femme Elizabeth Sali avec qui il part pour New York en 1936 pour réaliser un travail pour Keystone. Du fait de la Seconde Guerre mondiale, il reste à New York, et collabore de 1937 à 1949 avec divers journaux. Comme il refuse d'adapter son style, ses reportages, incompris, ne sont pas publiés.

    En 1944, il est naturalisé américain. Il réalise quelques publications et contrats, mais en 1963, après être tombé malade, il rompt tous ses contrats et ne fait plus de photographie que par plaisir.

    Auteurs

    fr.wikipedia.org

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    Photo © André Kertesz

     

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    Photo © André Kertesz

     

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    Photo © André Kertesz

     

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    Photo © André Kertesz

    www.bulgergallery.com

    www.stephendaitergallery.com

    www.castellodimontalbano.it

    www.rosegallery.net

    www.peterfetterman.com

    www.baudoin-lebon.com

     


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  • Muni de son appareil équipé d'un retardateur pour mieux soigner ses prises de vue, Henk parcourt des bâtiments abandonnés, maisons, théâtres, usines, hôpitaux désaffectés. Il y saisie les vestiges du passé comme pour nous les faire revivre ; pour rappeler à chacun d'entre nous ce que nous avons traversé.

    Mélancolique, les messages qu'il souhaite faire passer sont multiples.Dans nos pays industrialisés ou aujourd'hui ces bâtiments sont laissés pour compte, Henk nous interpelle sur le rôle social, politique et économique de ces abandons.

    Il nous interpelle aussi sur ces lieux ou la souffrance s'est incrustée dans les murs, les hôpitaux et la maladie, les usines et les âpres conditions de travail. Tout est là pour témoigner du passé. On ne peut rester insensible sur sa façon de nous faire partager sa vision. L'essentiel est pour lui le respect qu'il porte aux lieux qu'il visite. Il s'émeut des vandales qui violent ces lieux en leur enlevant petit à petit leurs âmes, en dérobant les matériaux partis intégrants des bâtiments.

    Pour Henk le sens du détail est fondamental. Il fige avec son appareil « l'adn » des bâtiments qu'il visite: boutons, poignées, éclairage, vêtements, papier...

    Prenez le temps d'écouter le silence comme le fait Henk. Alors vous serez vous aussi à même de comprendre la complainte de ces bâtiments laissés à l'abandon.

    Source : www.finearttv.tv

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    La suite et une video sur Henk Van Rensbergen ici : www.finearttv.tv

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    Photo © Henk Van Rensbergen

     

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    Photo © Henk Van Rensbergen

    www.abandoned-places.com

    www.finearttv.tv

     

     


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