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  • Arno Rafael Minkkinen (né en 1945 à Helsinki en Finlande) est un photographe américain.

    Quelques années après sa naissance, en 1951, sa famille émigre aux États-Unis, dans le quartier Bensonhurst de Brooklyn, à New York. En 1963, il entre à l'Université Wagner pour y étudier la Philosophie et la Religion. Son père meurt brutalement en 1966. Il séjourne en Finlande l'année suivante. Il se marie en 1969.

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    Il entre dans une agence de publicité au même moment. Il apprend la photographie auprès de Ken Heyman et John Benson. Il fréquente les milieux photographiques et développe sa sensibilité au fur et à mesure de ses rencontres avec des artistes comme Ralph Gibson, Harry Callahan, Aaron Siskind, Minor White, Lisette Model ... Sa première exposition a lieu en 1972 dans une galerie de Soho. Il est invité à donner des cours dans une école de Design d'Helsinky de 1974 à 1976. Sa première monographie Frostbite est publiée en 1978 par Morgan & Morgan.

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    www.arnorafaelminkkinen.org

     


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  • Étudiant en arts plastiques, David Lynch s'essaye très tôt au cinéma, se livrant à diverses expérimentations aboutissant à Eraserhead en 1976, film-cauchemar traumatisant, tourné dans un noir et blanc crasseux d'une audace étonnante. C'est en voyant ce film hors norme que Mel Brooks décide de confier à Lynch la réalisation d'un projet qui lui tient à cœur, Elephant Man (1981). Le film, tourné dans un beau noir et blanc, est une éclatante réussite et le rend célèbre (il remporte au passage le Grand Prix du Festival d'Avoriaz).

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    Le succès d'Elephant Man lui ouvre les portes de la super-production, avec Dune (1984), adapté de l'œuvre de Frank Herbert, un film dans lequel David Lynch s'essaye à la science-fiction. Le résultat, mitigé, partage les spectateurs. Le réalisateur, lui, renie ce film dont il n'a pas eu le final cut.

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    David Lynch revient en force avec un de ses films les plus marquants : Blue Velvet (1986), qui remporte le Grand Prix du Festival d'Avoriaz.

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    Avec son film suivant, Sailor et Lula (Wild at Heart, 1990), c'est la consécration : à Cannes, il vaudra une Palme d'Or à son auteur

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    Véritable iconoclaste, David Lynch défie toute catégorisation, ayant su créer tant dans ses séries que dans ses films un univers surréaliste complètement personnel. Beaucoup de ses films se jouent de toute narration cinématographique conventionnelle, en particulier des lois du film noir : c'est le cas, notamment d'une des séries de David Lynch:Twin Peaks (1992), Lost Highway (1997) ou Mulholland Drive (2001).

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    En plus du talent qu'on lui connaît, compositeur, monteur, mixeur, décorateur, animateur, producteur, scénariste, cadreur, ingénieur du son, réalisateur, David Lynch est aussi acteur. Il se met lui-même en scène dans la série Twin Peaks et le film éponyme, où il tient le rôle de l'agent Gordon Cole, dont la particularité est d'être malentendant. Il collaborera également avec d'autres réalisateurs tels que Tina Rathborne (Zelly and me) [(1988)], Michael Almereyda, dans le rôle d'un réceptioniste d'une morgue dans le film Nadja [(1994)], puis récemment dans Midnight Movies, un documentaire de Stuart Samuels [(2006)].

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    Une histoire vraie (The Straight Story, 1999), dont le scénario a été écrit par sa femme Mary Sweeney, est un film à part, qui semble (en apparence du moins) très apaisé et humaniste par rapport aux autres films de David Lynch.

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    David Lynch n'hésite pas non plus à manipuler certains clichés cinématographiques de manière subversive (cf. Blue Velvet, où il transforme en cauchemar l'idéalisme des années 1950, ou dans Twin Peaks, la série, qui va du mélo à l'angoisse, en passant par la comédie).

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    En 2002 Lynch préside le jury du festival de Cannes.

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    Son dernier film, Inland Empire, sorti en France le 7 février 2007, a été tourné pour moitié en Pologne, pour moitié aux États-Unis. Il s'agit d'une co-production américano-polono-française. Les scènes polonaises ont été tournées à Lodz où Lynch réalise le projet de créer une école de cinéma.

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    En Mars 2007, la Fondation Cartier (Paris) accueille une exposition de David Lynch, The Air Is On Fire, qui regroupe photos, œuvres plastiques et sonores du réalisateur. Cette exposition est l'occasion pour le public français d'apprécier les multiples facettes de Lynch, son univers dérangeant et poétique, peu de temps après la sortie d'Inland Empire.

     


    Dérangeant, inquiétant, déboussolant, cap sur le triangle des Bermudes du plus troublant des réalisateurs américains. De ses premiers courts-métrages et ses oeuvres d'art aux mythiques "Eraserhead", "Blue Velvet", "Sailor et Lula", "Twin Peaks" ou "Lost Highway", exploration du Lynchland.

    Lorsqu'il déboule avec Eraserhead en 1976, David Lynch révolutionne le cinéma avec son écriture onirique et déconstruite. Depuis, cet ex-étudiant en arts plastiques a touché à tous les domaines de la création : cinéma, peinture, musique et même BD, jusqu'à recevoir un Lion d'Or à la Mostra de Venise en 2006 pour l'ensemble de son œuvre. Tracks plonge dans l'univers hors-norme de cet artiste multicartes.

    Tracks.
     


    www.davidlynch.com

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    www.aboutlynch.com

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    www.lynchland.net

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  • Représentant de la photographie créative ou plasticienne, Marc Le Mené produit depuis de nombreuses années des séries de photographies qui renvoient à un univers poétique. Scénographie et théâtralité sont au centre de ses dernières créations qui concourent à produire des images empreintes d'une atmosphère étrange.

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    Marc Le Mené intervient à tous les niveaux de l'élaboration de ses épreuves. Avant même la prise de vue, il met en place un dispositif nommé « la chambre mentale », qui consiste en une boîte cubique à cinq pans (ouverte). Il recrée ainsi l'intérieur d'une pièce en modèle réduit avec une perspective accélérée, point de départ de ses compositions insolites. Celles-ci mélangent sculptures et objets disparates au milieu desquels évoluent des silhouettes photographiées et découpées, qui brouillent échelles et proportions de manière surréaliste. Marc Le Mené exécute lui-même l'agrandissement de ses négatifs en noir et blanc, puis, pour s'approprier pleinement l'image, il procède à des virages et coloriages discrets qui donnent une profondeur à ses épreuves et en fait des exemplaires uniques.

    La pratique de Marc Le Mené interroge la photographie dans son pouvoir de représentation. Dans cette tension entre réalité et fiction, la mise en scène agit comme un viseur élargi qui conduit à une vision métaphorique proche du théâtre et du surréalisme.

    www.cndp.fr

     

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    marc.lemene.free.fr

     


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