• Photo Hosting at imageloop.com

    www.gagatka.hbz.pl

     


    votre commentaire

  • Photo Hosting at imageloop.com Photo Hosting at imageloop.com Photo Hosting at imageloop.com Photo Hosting at imageloop.com

    www.thespiderawards.com

     


    votre commentaire
  • Le photographe suisse Ambroise Tézenas, ancien assistant de Patrick Zachmann passé à la publicité, a su s'offrir le seul luxe véritable : le temps. Entre 2001 et 2005, il effectue cinq voyages en Chine. Il se pose à Pékin. Mais poser n'est pas le terme exact tant il va sillonner, parcourir à pied la ville tentaculaire. De ruelles en avenues, de réduits en quartiers, de boulevards déserts en échangeurs suspendus, Tézenas découvre un immense chantier. Un théâtre où la scène irait en s'élargissant, en une mutation irrésistible et ininterrompue. Une succession de décors, qui sont autant de passages entre deux mondes, deux univers, et quelques époques. Avec un très lourd matériel, une chambre sur pied, Tézenas, Atget postmoderne, s'attache essentiellement à des paysages nocturnes. Il montre ainsi le chemin de la Chine, qui va de la nuit des temps à l'ère numérique. Dans cette marche forcée vers l'absolue modernité digitale, l'homme ne rentre pas en ligne de compte. Sur les images de Tézenas, ce ne sont que silhouettes, figures labiles à l'instant de s'effacer. Avec la disparition des quartiers populaires, l'extension des banlieues, l'édification ex-nihilo des villes nouvelles, on voit un «progrès» à l'oeuvre. La chambre sur pied (technique du passé) capte ce qui peut l'être encore. Dernier silence avant le règne de la vitesse. Dernier recueillement avant la fureur et le fracas. Pour ce magnifique travail, publié chez Actes Sud et présenté en Arles, Tézenas a reçu le Leica European Publishers Award 2006. Mérité !

    STÉPHANE GUIBOURGÉ.

     

    Photo Hosting at imageloop.com Photo Hosting at imageloop.com Photo Hosting at imageloop.com

    www.ambroisetezenas.com

     


    votre commentaire

  • Photo Hosting at imageloop.com Photo Hosting at imageloop.com Photo Hosting at imageloop.com

    www.rebeccacampbell.net

     


    votre commentaire
  • Salgado choisit lui-même ses projets aux quatre coins du monde : il travaille toujours en noir et blanc et observe la vie de ceux qui vivent et qui travaillent du côté sombre de la société : migrants, mineurs, victimes de la famine... Un de ses reportages les plus renommés, intitulé La Mine d'or de Serra Pelada, porte sur le quotidien dans une mine d'or au Brésil, reportage dans lequel il parvient à décrire très humainement, sans jamais tomber dans le piège de la critique démagogique, les conditions de travail absolument primitives auxquelles les mineurs sont soumis.

    Il est nommé représentant spécial de l'UNICEF en 2001.<o:p> </o:p>

    Dans l'introduction d'Exodes, il écrit : « Plus que jamais, je sens que la race humaine est une. Au-delà des différences de couleur, de langue, de culture et de possibilités, les sentiments et les réactions de chacun sont identiques. Les gens fuient les guerres pour échapper à la mort ; ils émigrent pour améliorer leur sort ; ils se forgent de nouvelles existences dans des pays étrangers : ils s'adaptent aux pires situations... ».<o:p>
     </o:p>

    Cependant, depuis le début des années 2000, des journalistes (dont le New York Times) et l'écrivain Susan Sontag critiquent les photographies de Salgado. Le photographe est accusé d'utiliser de manière cynique et commerciale la misère humaine, de rendre belles les situations dramatiques qu'il saisit au risque de leur faire perdre leur authenticité. Sontag s'interroge sur « l'inauthenticité du beau » dans l'œuvre de Salgado.

    Après avoir longtemps été dans l'agence Magnum photographie", Salgado décide en 1994 de fonder sa propre agence photographique "Amazonas images" en compagnie de sa femme Lélia Wanick Salgado.

     

    Photo Hosting at imageloop.com Photo Hosting at imageloop.com Photo Hosting at imageloop.com

    expositions.bnf.fr/Salgado

    <o:p> </o:p>

    www.terra.com.br/sebastiaosalgado

     


    votre commentaire