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vincentlucphoto.com a été sélectionné par par le magazine Best On Web comme un des 500 meilleurs sites du moment...
à la fois photographe, journaliste chez Réponses Photo et enseignant en BTS Photo. Il vous propose de découvrir ses galeries photo et ses activités au travers de ce site dédié à la photographie.<o:p> </o:p>
« Jacques Brel disait qu'il ne croyait pas au talent, mais qu'il croyait au travail...
Je ne crois pas non plus au talent.
Je crois à l'éducation de l'oeil et elle ne se fait qu'en voyant le travail des autres, des "grands" et des moins "grands" au travers de sites, d'expos, de livres... C'est en regardant les choses qu'on apprend à les voir. »
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Lois Greenfield est diplômée de la Brandeis University et a étudié la photographie au célèbre MIT.
Elle a commencé sa carrière en couvrant les concerts de rock et les grandes manifestations publiques de Boston où elle vivait.
En 1973, elle s'installe à New York et contacte Deborah Jowitt, rédactrice danse à Village Voice,
en effet cet hebdomadaire consacre des articles aux différentes expressions artistiques.
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Maintenant ses photos sont publiées dans le New York Times, Newsweek,Vogue, et Rolling Stone, en plus de The Voice,
ce qui confirme le succés de son choix aussi bien que l'attrait pour sa démarche des responsables éditoriaux.
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Rachel Papo est une Israélienne, née en 1970 à Columbus, Ohio mais qui a été élevée en Israël. Elle a commencé la photographie à l'adolescence et a fréquenté une école renommée en Beaux Arts à Haïfa, Israël. A l'âge de dix-huit ans, elle a servi dans l'Air Force israélienne comme photographe. Ces deux années intensives de service ont inspiré son projet photographique actuel, baptisé de son propre numéro de matricule quand elle était en service N° de série 3817131. Elle a obtenu un diplôme en Beaux Arts à l'Université d'Etat de l'Ohio à Columbus (1991-96), et une maîtrise en photographie à l'Ecole des Arts Visuels de New York (2002-05). Elle a commencé à photographier des femmes soldats israéliennes en été 2004 dans le cadre de son projet de maîtrise. Elle continue à prendre des photos à la fois en Israël et à New York, continuant à faire de la photographie d'art et acceptant des projets sur commande. Ses photographies sont reprises dans plusieurs collections publiques et privées. Elle réside actuellement à Brooklyn, New York.
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« La vie d'une jeune Israélienne est interrompue quand elle est arrachée à son environnement à l'âge où ses valeurs sexuelles, éducationnelles et familiales sont au summum de leur exploration. Elle est alors placée dans une institution rigoureuse, où l'individualité devient secondaire, laissant la place au nationalisme.
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Mon projet, qui a débuté en été 2004, est une exploration du service militaire obligatoire pour les Israéliennes, sur base de ma propre expérience dans les Forces de Défense Israéliennes entre 1988 et 1990. Mes photographies exposent une complexité d'émotions avec une mise en évidence de la mélancolie. Le soldat est souvent pris dans un moment d'autoréflexion, d'incertitude, une cassure avec la réalité quotidienne, comme si elle remettait en question sa propre identité. Avec ce projet, je souhaite chercher des réponses aux problèmes qui sont restés irrésolus et exposer ce moment important dans la vie des Israéliennes.
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J'espère que mon projet aidera à ouvrir les yeux de beaucoup de gens dans le monde sur le rôle des femmes dans l'armée et augmentera la compréhension de la complexité du conflit au Moyen Orient. »
2 commentaires
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Qui a dit photographier est une opération progressive de la tête, de l'oeil et du coeur pour exprimer un problème, fixer un événement ou des impressions ?
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Photographier... Quand je veux déclencher pour figer dans le temps un moment, pour saisir une image et la voler au temps, c'est que quelque chose, pour moi, fait sens : pour mon oeil (un plaisir esthétique), pour mon coeur (une émotion), pour ma tête (je ne peux m'empêcher de penser à un discours, à un vague message délivré par l'image - le reportage est-il par exemple jamais objectif?).
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Le Noir et Blanc me semble souvent plus à même de restituer cette adéquation parce qu'il n'est pas clinquant et va à l'essentiel. Ce qui ne veut pas dire que la couleur n'a pas ses mérites. La couleur impose une autre âme. Mais la photographie noir et blanc me semble une épure du réel... Mais la photographie noir et blanc me semble une abstraction bénéfique... pour le moment... On verra demain... L'important est de capturer l'âme fantomatique du moment qui est en train de mourir sous nos yeux...
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Les photos forment donc le kaléidoscope visuel qui compose un point de vue sur le monde : c'est-à-dire un regard particulier (ce qui ne veut pas dire, pour autant, original ; bien au contraire, parfois), une opinion, et une humeur à un moment donné.
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D'où le néologisme peu élégant qui sert de nom à ce site :
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Mnémospection
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Un terme pour essayer de suggérer que la mémoire passe en partie (essentiellement ?) par le regard et que pour conserver cette mémoire, il faut fixer ce regard... Rien que de très banal. Et ce qui doit échapper à cette banalité ? La richesse inépuisable de ce qu'il faut fixer...
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Je ne peux que reprendre les mots de Cartier-Bresson : C'est pour chacun de nous en partant de notre oeil que commence l'espace qui va s'élargissant jusqu'à l'infini, espace présent qui nous frappe avec plus ou moins d'intensité et qui va immédiatement s'enfermer dans nos souvenirs et s'y modifier.
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Photographier : lutter contre la modification perpétuelle...
Sylvain Lagarde
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